EIJI OHASHI
C’est lors de son ascension de l’Himalaya, à la fin de sa vingtaine, que le passionné d’alpinisme Eiji Ohashi découvre la photographie. Né dans la préfecture d’Hokkaido en 1955, Eiji travaille jusqu'à l’âge de 54 ans comme salarié en vendant des assurances pour la Poste japonaise. Mais sa passion pour la photo le poussait déjà à voyager au Tibet, et dans d’autres régions de la Chine occidentale, au Népal et au Pakistan. En tant que photographe amateur, il a publié 2 livres : Silkroad en 2003 et Nirvana en 2006.
Ce n’est qu’en 2010 qu’il décide de devenir photographe à plein temps. Depuis lors, son principal sujet a été les distributeurs automatiques. “La raison pour laquelle je prends une photo d'un distributeur automatique est qu'il nous donne de l'espoir et de l'inspiration lorsque nous voyons des choses brillantes au milieu d'une nuit sombre.”
Eiji Ohashi a publié en 2017 Merci, Being There et Roadside Lights. Ce dernier a d’ailleurs été récompensé par le prestigieux prix Higashikawa en 2018.
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It was during his ascent of the Himalayas in his late twenties that the mountain climber Eiji Ohashi discovered photography. Born in the prefecture of Hokkaido in 1955, Eiji worked until the age of 54 as an employee selling insurance for the Japanese Post Office. But his passion for photography was already driving him to travel to Tibet and other parts of western China, Nepal and Pakistan. As an amateur photographer, he has published 2 books: Silkroad in 2003 and Nirvana in 2006.
It wasn't until 2010 that he decided to become a full-time photographer. Since then, his main subject has been vending machines. ‘The reason why I take a photo of a vending machine is that it will make us see hope and inspiration when we see shiny things in the middle of a dark night.’
Eiji Ohashi published Merci, Being There and Roadside Lights in 2017. He was in fact awarded the prestigious Higashikawa Prize in 2018.